À la rescousse des métiers d’art et du patrimoine vivant : l'INMA et B.Between allient leurs forces !

 

L’INMA (Institut National des Métiers d’Art) est un organisme d’utilité publique qui a un objectif bien précis : encourager la transmission des savoir-faire dans les métiers d’art et du patrimoine vivant. 

L’association veille à mettre en lumière les métiers d’art mais aussi à les soutenir dans le cadre de leur activité. 

Chez B.Between, notre mission, c’est la réussite commerciale des entreprises que nous accompagnons, notamment les entreprises issues des métiers d’art…

En effet, c’est officiel : B.Between s’associe à l’INMA ! 


Nous sommes ravis d’intégrer le réseau de partenaires agréés de l’INMA et pour l'occasion, nous avons eu la chance de discuter avec Camille Feuilly, Cheffe de Projets Entreprises à l’INMA.

 

Qu’est-ce que l’INMA ?

“L'histoire des métiers d'art remonte à l'Antiquité. Durant une période assez charnière est apparue l'ère de la révolution industrielle. Il y a eu des dépôts de nouveaux brevets, de la modernité au sein des métiers d'art et des grandes maisons qui se sont mises en scène, notamment lors des expositions universelles. 

L’Institut National des Métiers d’Art, dont M. Luc Lesénécal est président, a donc été fondé en 1889 sous le nom de Société d’encouragement à l’art et à l’industrie. Il a été fondé par Gustave Larroumet, le directeur de l’École nationale supérieure des beaux-arts, et Gustave Sandoz, un bijoutier-horloger-joaillier de renom. Grâce à la gestion du Label, l’INMA poursuit leur mission historique : rapprocher artisans d’art et industriels, artistes et artisans d’art, petites et grandes structures pour aujourd’hui renouveler et encourager les savoir-faire français et l’économie du Fabriqué en France.   

L’INMA est fondée sur la passion de la matière, de la créativité, de la transmission. Le sujet de la transmission des savoir-faire est la pierre angulaire à l’INMA. C'est une association d'utilité publique, un organisme national qui mène une mission d'intérêt général au service du secteur des métiers d'art et du patrimoine vivant. Le 21 mars 2024, l'INMA devient l'Institut pour les Savoir-Faire Français.

Il y a 281 métiers d'art au total qui sont répertoriés. Du plumassier, au doreur, en passant par le restaurateur, au ferronnier… On compte un très grand nombre de professions. Ces métiers sont exercés par des professionnels artisans d'art, des professions libérales mais aussi des salariés. Parmi plus de 60 000 entreprises, on compte également des entreprises du patrimoine vivant dont on gère le label EPV.

Le label « Entreprise du Patrimoine Vivant » (EPV) est une marque de reconnaissance de l’État, mise en place pour distinguer des entreprises françaises, et des savoir-faire industriels et artisanaux d’excellence. 

Depuis sa création en 2005, le label EPV met en lumière des entreprises uniques qui savent concilier l’innovation et la tradition, le savoir-faire et la création, le travail et la passion, le patrimoine et l’avenir, le local et l’international. Ce label d’État est rattaché au Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique et décerné par les préfets de région. L’État a confié la gestion de ce label à l’INMA en 2019

Attribué pour une période de cinq ans, ce label rassemble des fabricants partageant une certaine vision des activités qui doivent être celles de leur entreprise : la haute performance de leur métier et de leurs produits, une attention permanente à la formation interne, une démarche innovante techniquement et socialement et une stratégie commerciale dynamique. Il est le seul label d’État décerné à une entreprise pour l’ensemble de son activité, et garantissant l’excellence de ses savoir-faire.”

 

Comment accompagnez-vous concrètement les acteurs des métiers d'art et les entreprises du patrimoine vivant ?


“Nous avons 3 grandes missions à l’INMA que nous nous appliquons à mettre en place lorsque nous abordons un prospect ou un client : 

  • Faire grandir 

  • Faire perdurer

  • Faire rayonner les savoir-faire français et ceux qui en sont les détenteurs.

Nous sommes en lien avec des chefs d'entreprise de manière assez fréquente au fil de l'année. Ils nous contactent directement, notamment car ils souhaitent avoir des informations pour pouvoir être aidés dans leur développement. 

Ensuite, nous avons toutes les opportunités événementielles, c'est-à-dire que nous organisons des remises de diplômes pour les nouvelles EPV au sein des préfectures. Souvent, ce sont des événements qui sont clés, où il y a une vingtaine d'entreprises qui se voient remettre un diplôme dont elles sont très fières. C'est donc l'occasion parfaite pour enclencher une discussion autour de leur développement. Il y a des salons, comme le Salon du Made in France par exemple, mais aussi le Salon International du Patrimoine Culturel. 


Nous réalisons aussi des enquêtes de manière annuelle. Une des missions de l'INMA est de remonter de l'information au ministère de l’Éducation nationale, de l’Économie et des Finances et de la Culture. Le Ministère ne dispose pas d'informations sur les métiers d'art automatiquement. Il demande donc à l’INMA de faire des études sur le terrain pour obtenir toutes les infos dont il a besoin, car nous les avons. En fait, ce sont des informations que nous collectons via des études annuelles. Dans ces études, nous demandons aux dirigeants d'entreprises s’ils rencontrent des problématiques de développement. Généralement, il les listent et suite à cela, ils nous contactent pour bénéficier de notre offre : Savoir & Faire Conseil.”

 

Avez-vous une anecdote inspirante sur des artisans ou des entreprises du patrimoine vivant que vous avez soutenus et comment leur collaboration avec l’INMA a eu un impact significatif sur leur activité ?

“Nous travaillons pour un grand diamantaire parisien qui souhaite créer son centre de formation en interne parce qu’il fait face à des problématiques de transmission et de pérennisation de son savoir-faire. 

Aujourd'hui, il y a beaucoup de turnover, beaucoup de gens qui ne sont pas forcément bien formés. Pour des métiers de haute technicité comme le métier de lapidaire (la taille de la pierre), il faut pouvoir pallier ce manque. 

Comme dans la grande mouvance des maisons de luxe par exemple chez Louis Vuitton, il y a une formation métier d'excellence en Louis Vuitton. Ils ont également sorti un prix LVMH qui s'appelle le Prix du Savoir-faire. Le milieu du luxe a pour ambition de certifier et former au sein de leurs entreprises plutôt que de faire appel à des cursus externes. 


Donc c'est un projet qui est celui que nous avons fait pour ce grand diamantaire. Un projet qui est assez emblématique des tendances actuelles et qui est intéressant. L'idée c'est de créer un centre de formation en interne comme ont pu le faire Van Cleef & Arpels ou Louis Vuitton du groupe LVMH.”

 

Quel est le rôle de B.Between ?

“C'est dans un contexte de grande confiance que nous concrétisons un partenariat avec des entités comme la vôtre. Nous avons 14 partenaires aujourd'hui dont nous sommes très fiers et qui sont donc accrédités par l’INMA. Notre ambition c'est vraiment de créer et de générer du business pour nos partenaires, tout en accompagnant les entreprises du patrimoine vivant qui le désirent. 

On voit votre valeur ajoutée à différents niveaux. On la voit dans une force vive pour prospecter et déclencher des opérations commerciales chez nos clients afin de les aider sur la problématique de fidélisation. On la voit aussi sous forme de direction commerciale à temps partagé. 

Aujourd'hui, beaucoup de PME n’ont pas tellement de fonctions supports. Il y a beaucoup de polyvalence. Une personne peut faire à la fois de la communication, du commerce, de la finance… Ces structures n'ont pas assez de personnes pour chacun de ces postes et parfois la direction commerciale est éludée par manque de temps. Il y a donc tout un potentiel de développement commercial qui n'est pas exploité et que nous soulignons à nos entreprises. Dans ce cadre là, B.Between peut intervenir sur des solutions de moyen à long terme en proposant de la direction commerciale partagée. En plus de la force vive, c’est quelque chose qui nous intéresse. 


En parallèle, il y a également toute la partie formation/coaching qui est intéressante. Tout comme les structures n'ont pas forcément mis en place de direction commerciale au sein de leur entreprise, elles n'ont pas forcément les bons réflexes. Avec B.Between, elles peuvent être formées aux rudiments. B.Between va pouvoir installer, de manière pérenne, une stratégie de développement commerciale au sein de leur entreprise.”

 

Qu'est-ce qui vous a convaincu de faire confiance à B.Between ?

“Toutes les raisons que je viens d'évoquer mais aussi pour une raison importante : la recommandation. 

Nous fonctionnons beaucoup par recommandations, par des gens qui ont déjà eu une expérience au sein d'entreprises du patrimoine vivant. Cette appétence pour les métiers d'art et le patrimoine vivant pour nous est clé ! Nous avons besoin de quelqu'un qui a déjà la fibre, mais surtout l'expérience. 

Nous savions que Mélanie Blandin (Fondatrice de B.Between ☺️) avait cette fibre et cette expérience. Elle a une culture et une expérience dans le made in France, notamment car elle a travaillé chez Bic. Cette question du made in France est essentielle pour nous, et elle est même de plus en plus importante. On peut s’en rendre compte rien qu’en voyant la fréquentation du Salon du Made in France qui a eu lieu en novembre dernier.


Mélanie nous a été recommandée par notre partenaire, Tiphaine Chouillet du Studio La Racine. Elles ont travaillé ensemble par le passé. Nous avons toute confiance en Tiphaine donc nous avons également toute confiance en Mélanie.”

 

Tout comme Camille l’a mentionné, c’est dans un contexte de grande confiance que nous concrétisons ce partenariat avec l’INMA. 

Chez B.Between, nous sommes ravis de pouvoir apporter toute notre expertise aux entreprises professionnelles des métiers d'art et/ou du patrimoine vivant. 

Du conseil sur la stratégie commerciale, au coaching des collaborateurs, en passant par de la direction ou des commerciaux à temps partagé ; B.Between a à cœur de proposer le meilleur aux entreprises qu’elle accompagne afin de faire rayonner leur activité. 

Pour découvrir comment B.Between peut vous conseiller et vous accompagner vers votre réussite commerciale, c’est par ici : https://www.bbetween.fr/offres

Faire grandir, faire rayonner, faire perdurer”… Telles sont les 3 principales missions de l’INMA comme nous l’a si bien rappelé Camille. 

Pour en découvrir davantage sur l’INMA et leur histoire, rendez-vous sur leur site : https://www.institut-metiersdart.org/

Si la perfomance de votre service commercial est votre obsession du moment, discutons, nous avons certainement la solution !

Contactez-nous 🙂

Vanina Chetty